USA : La Love Cam dévoile une liaison extra conjugale entre un chef d’entreprise et son employé lors d’un concert

Lors du passage de la célèbre Love Cam, un moment habituellement léger et romantique pendant les concerts, les caméras géantes ont capté un couple manifestement embarrassé… et pour cause : les deux tourtereaux surpris à l’écran ne sont pas mariés l’un à l’autre, mais à d’autres personnes.

Une réaction qui en dit long

Lorsque le visage d’Andy Byron est apparu sur les écrans du stade, côte à côte avec Kristin Cabot, les caméras les ont encouragés, comme le veut la tradition, à échanger un baiser. Visiblement pris au dépourvu, le PDG a rapidement tenté de se soustraire à l’image, détournant le regard et se penchant en avant pour fuir l’objectif. Kristin, elle aussi mal à l’aise, s’est empressée de baisser la tête.

 Mais il était déjà trop tard : la scène avait été filmée par plusieurs spectateurs, et les vidéos se sont répandues comme une traînée de poudre sur les réseaux sociaux.

Une double vie révélée au grand jour

La Love Cam, censée célébrer l’amour innocent, a au contraire mis en lumière une liaison extra-conjugale embarrassante. Andy Byron est marié et père de deux enfants. Quant à Kristin Cabot, elle est également mariée. Le scandale ne s’est pas fait attendre. Selon plusieurs internautes, l’épouse d’Andy Byron a rapidement réagi : elle a retiré son nom d’épouse de ses profils en ligne, reprenant son nom de jeune fille sur Facebook. Un geste qui ne laisse guère de doute sur sa colère — et peut-être sur la tournure que prend cette affaire au sein du couple.

Le malaise gagne l’entreprise

Chez Astronomer, cette révélation tombe comme une bombe. L’entreprise, jusque-là discrète sur la vie privée de ses dirigeants, doit désormais composer avec un PDG au cœur d’un scandale public. Des employés auraient exprimé leur malaise en interne, d’autant plus que Byron et Cabot sont tous deux figures de proue de la société. Ni l’entreprise ni les protagonistes n’ont encore réagi officiellement.

Une leçon sur la transparence… et la viralité

Cette histoire illustre une nouvelle fois à quel point la frontière entre sphère privée et espace public est devenue poreuse à l’ère des réseaux sociaux. En quelques secondes, une caméra de concert et quelques smartphones ont exposé un secret que les intéressés pensaient sans doute bien gardé.

Reste à savoir si ce moment de “romance accidentelle” aura des conséquences au-delà de l’embarras viral. Une chose est certaine : cette Love Cam n’aura pas célébré l’amour, mais aura mis fin à plus d’un mensonge.