Côte d’Ivoire : Le président de la Haute Autorité pour la Bonne Gouvernance invité à la tribune du CESEC

Le président de la Haute Autorité pour la Bonne Gouvernance (HABG) Épiphane Zoro Bi Ballo a pris part à l’une des prestigieuses conférences organisées par le Conseil Économique, Social, Environnemental et Culturel (CESEC). La cérémonie a débuté par le mot de bienvenue prononcé par Dr Eugène Aka Aouélé, patron de l’Institution qui a par ailleurs situé le contexte.

Hommage au président Ouattara

Le président du CESEC a exprimé sa gratitude envers le conférencier du jour, saluant "une éminente personnalité" dont la participation témoigne de l’engagement à orienter les efforts institutionnels vers une gouvernance plus éthique et transparente. Il a également rendu un hommage appuyé au chef de l’Etat Alassane Ouattara pour sa vision du développement fondée sur des institutions solides et la promotion de la bonne gouvernance comme socle du progrès économique et social. Selon Aka Aouélé, « Le choix de cette thématique n’est pas fortuit. Il s’inscrit pleinement dans l’esprit des réformes initiées par le Chef de l’État en vue d’asseoir une administration performante, intègre et au service de l’intérêt général » a ajouté Dr Eugène Aka Aouélé.

La gouvernance publique peut être perçue comme "un système de valeurs et de mécanismes permettant une gestion efficiente, éthique et responsable des affaires publiques

Quant au président Épiphane Zoro Bi Ballo, il a livré une communication exhaustive et structurée autour de trois grands axes : La bonne gouvernance comme levier de moralisation de la vie publique ; Le cadre juridique et institutionnel mis en place depuis 2012 ; et L’évolution de la gouvernance en Côte d’Ivoire et ses impacts. Selon lui, la gouvernance publique peut être perçue comme "un système de valeurs et de mécanismes permettant une gestion efficiente, éthique et responsable des affaires publiques".

Ensuite, il a rappelé qu’en 2012, sous l’impulsion du Président de la République, la Côte d’Ivoire s’est dotée d’un arsenal juridique et institutionnel inédit, incluant la création de la Haute Autorité pour la Bonne Gouvernance, la ratification de conventions internationales majeures (ONU, UA, CEDEAO) contre la corruption et la mise en place de procédures de déclaration de patrimoine pour les agents publics.