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Beauté / Produits capillaires : Un opérateur annonce de gros investissements en Côte d'Ivoire

Publié le : 31 octobre 2019 par Irene Bath

Yohann Cohen annonce des investissements sur le long terme en Côte d'Ivoire, à travers les écoles de coiffure, les coiffeurs, les pharmaciens. (Ph : DR)

Yohann Cohen annonce des investissements sur le long terme en Côte d'Ivoire, à travers les écoles de coiffure, les coiffeurs, les pharmaciens. (Ph : DR)

Slc Beauty, expert de la distribution de produits cosmétiques en Afrique, est un opérateur qui a choisi de réaliser des investissements importants en Côte d'Ivoire. L'information a été donnée par Yohann Cohen, Président directeur général (Pdg) de ladite structure au cours de la présentation de différentes marques de produits capillaires le jeudi 17 octobre 2019, à Abidjan-Plateau.

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« La Côte d'Ivoire est le plus grand pays francophone d'Afrique de l'Ouest. C'est un passage obligé. Raison pour laquelle, nous avons choisi de faire des investissements sur le long terme en Côte d'Ivoire à travers les écoles de coiffure, les coiffeurs, les pharmaciens. C'est un développement sur du long terme », a informé Yohann Cohen, Président directeur général (Pdg) de Slc Beauty expert, à l'occasion de la présentation de différentes marques de produits capillaires le jeudi 17 octobre 2019, à Abidjan-Plateau. Il a expliqué que leurs produits qui viennent de l'étranger, notamment de l'Europe, s'adressent à l'ensemble des besoins des femmes en Côte d'Ivoire. Le Pdg a lancé un appel pour la recherche de distributeurs locaux pour représenter leurs produits. « Nous ne sommes pas implantés en Côte d'Ivoire », a-t-il dit.

Nadège Prat, Responsable de la formation au groupe Slc international expert a mentionné que la particularité d'un cheveux africain, c'est d'être cassant et dévitalisé. « Les chimistes des laboratoires travaillent pour trouver une solution qui soit adaptée à toute typologie de cheveux et pas forcement à une région donnée dans le monde. Ce sont des produits pour tout le monde, ce n'est pas seulement pour les Ivoiriens. Les Ivoiriennes ont une problématique qui est identique à celle des femmes qui se trouvent en Europe, aux États-Unis, partout dans le monde », a précisé Nadège Prat.

I.B.


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Article rédigé par

Irene Bath

Journaliste Reporter

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